La population Ontarienne souhaite que le réseau de santé soit :

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Mesures de prévention

Hôpitaux Soins de santé de longue durée Soins à domicile Soins primaires
Mesures de prévention Introduction Raison d’être Résultats des indicateurs Idées d’amélioration Que fait-on en Ontario?

Raison d’être

Que veulent les Ontariens? Et si cela ne se produit pas? Qui en profite le plus?
Un programme universel de vaccination antigrippale pour les personnes de tous âges, et plus particulièrement pour les populations vulnérables, dont les personnes âgées. Un faible taux de vaccination contre la grippe pourrait être associé à l’augmentation des hospitalisations évitables, surtout chez les personnes âgées.7Il pourrait s’ensuivre des conséquences à court terme, comme les symptômes de la grippe (toux, fièvre, fatigue, douleurs musculaires, mal de gorge, manque d’appétit, congestion nasale, et des complications à plus long terme, dont la pneumonie.8 Les 13 millions de personnes qui vivent en Ontario,9les 178 000 personnes qui reçoivent des services par l’entremise des CASC n’importe quel jour10et les 616 952 clients11qui reçoivent des services de soins à domicile (SD) des CASC.
Des tests efficaces de dépistage du cancer du sein, du col de l’utérus et du côlon (mammographie, test Pap et test de recherche de sang occulte dans les selles, respectivement) pour tous les Ontariens admissibles. Un dépistage inadéquat du cancer pourrait être associé à un nombre accru de complications et de décès prématurés dus au cancer du sein, du col de l’utérus, du côlon ou du rectum12,13ou de souffrances attribuables au traitement du cancer à un stade avancé. Cela pourrait également donner lieu à une augmentation des coûts de la santé pour la province et du fardeau économique associé à une perte de productivité. Les personnes à risque du cancer du sein (femmes de 50 à 69 ans), cancer du col de l’utérus (jusqu’à l’âge de 69 ans) et du côlon (hommes et femmes entre 50 et 74 ans).Au cours d’une vie, une femme sur neuf aura le cancer du sein14et un homme sur 13 et une femme sur 16 auront le cancer du côlon.15
Des tests efficaces de dépistage de l’ostéoporose pour tous les Ontariens admissibles. Un dépistage inadéquat de l’ostéoporose peut se traduire par un plus grand nombre de personnes souffrant de fractures osseuses pouvant entraîner des maux de dos chroniques, l’immobilité, une modification de la posture, davantage d’hospitalisations et l’alourdissement du fardeau financier sur le système de santé de la province.16,17 Les femmes de plus de 55 ans et les hommes âgés présentant certains facteurs de risque.
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