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Améliorer les soins grâce aux données probantes

Fréquence des examens de dépistage de la dyslipidémie


Recommandations du Comité consultatif ontarien des technologies de la santé

  • Chez les personnes ayant des taux de lipides normaux ou une dyslipidémie (p. ex., une anomalie des taux de gras et [ou] de cholestérol dans le sang) ou celles qui font actuellement l'objet d'un traitement contre la dyslipidémie, les données probantes sont insuffisantes pour permettre au Comité consultatif ontarien des technologies de la santé de formuler une recommandation sur la fréquence des examens des lipides.

  • En attendant que des données probantes de plus grande qualité soient disponibles, le Comité consultatif ontarien des technologies de la santé recommande que l'on envisage d'utiliser les directives actuelles de la Société canadienne de cardiologie.

Lisez le rapport de la recommandation du CCOTS en entier



Un régime alimentaire médiocre et un mauvais choix de mode de vie peuvent mener à des taux de gras dans le sang plus élevés que ceux jugés appropriés pour la santé. Lorsqu'un excès de gras circule dans le sang, celui-ci peut empêcher plusieurs organes de fonctionner correctement et causer des problèmes de santé graves, comme une maladie cardiovasculaire. Environ 23 % des Canadiennes et des Canadiens affichent des niveaux anormaux de cholestérol des lipoprotéines de basse densité, un type de gras nuisible. En Ontario, les patients qui présentent des niveaux de risque faible et moyen quant à l'excès de gras dans le sang ne subissent pas d'examens aussi souvent que le recommande la Société canadienne de cardiologie.


Examen de la fréquence des tests sanguins de taux de gras par Qualité des services de santé Ontario

On ne sait pas à quelle fréquence il est nécessaire de subir des tests sanguins pour déceler des niveaux de gras anormaux. La Société canadienne de cardiologie recommande actuellement que les personnes qui présentent un risque faible à élevé de souffrir d'une maladie cardiovasculaire subissent un examen chaque année et que celles qui présentent un risque très faible le fassent tous les quatre à cinq ans.


Fréquence des examens de dépistage de la dyslipidémie : Analyse fondée sur des données probantes
mai 2014 (PDF)


Fréquence des examens de dépistage de la dyslipidémie : Examen systématique et analyse de l'incidence budgétaire
mai 2014 (PDF)


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Le Ministère de la Santé et des Soins de longue durée appuie cette recommandation.

Le Ministère de la Santé et des Soins de longue durée a fourni la réponse suivante: Le Ministère est d’accord avec cette recommandation et encourage les professionnels de la santé à envisager d’utiliser les lignes directrices actuelles de la Société canadienne de cardiologie.





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