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Que veulent les Ontariens? | Et si cela ne se produit pas? | Qui en profite le plus? |
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Un milieu de travail sain où le taux de blessures des fournisseurs de soins est le plus bas possible. | Le personnel peut être exposé à des risques physiques et psychologiques et subir des blessures. En conséquence, les taux d’absentéisme risquent de croître, alourdissant la charge de travail des autres membres du personnel, qui peuvent faire davantage des erreurs.8,9,10,11 Le résultant étant une baisse de satisfaction, des taux plus élevés de roulement, une perturbation de la continuité des soins et une hausse des coûts de recrutement.12,13 En outre, les primes de la Commission de la sécurité professionnelle et de l’assurance contre les accidents du travail (CSPAAT) risquent d’augmenter.14 | Les 441 600 professionnels de la santé de l’Ontario.15 |
Les taux d’absentéisme et d’inactivité les plus bas possible pour les fournisseurs de soins. | Des taux d’absentéisme plus élevés sont le résultat de l’épuisement du personnel et d’un faible degré de satisfaction.16 Qui plus est, l’absentéisme nuit à la continuité et à la qualité des soins et peut être associé à des coûts supplémentaires.17,18 | |
Accès aux services de répit afin d’accroître le fardeau et la détresse chez les aidants. | Les aidants souffriront de stress, ne seront plus capables de s’occuper de leurs proches19 et devront chercher d’autres solutions | Les 178 000 personnes qui reçoivent des services par l’entremise des centres d’accès aux soins communautaires (CASC) n’importe quel jour20 et les 616 95221 clients qui reçoivent des services de CASC en 2011, dont un grand nombre sont des clients de longue durée. |