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Indicateur | Valeur* | Tendances et comparaisons | Constatations |
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Pourcentage de la population qui :
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19 % |
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Les taux de tabagisme en Ontario ont diminué légèrement au cours des sept dernières années, passant de 22 % en 2003 à 19 % en 2010. Des baisses ont été aussi constatées dans le taux de tabagisme quotidien au cours de la même période (données non indiquées). Les taux de tabagisme passif ont chuté beaucoup plus entre 2003 et 2005, mais la situation n’a pas beaucoup évolué depuis. Au cours de la décennie écoulée, le gouvernement de l’Ontario a déployé la stratégie Ontario sans fumée. Par exemple, en janvier 2009, l’Ontario a interdit la consommation de tabac dans un véhicule motorisé en présence d’enfants âgés de moins de 16 ans. La Loi appuyant la stratégie Ontario sans fumée par la réduction du tabac de contrebande a été adoptée en juin 2011 afin de protéger davantage les jeunes des dangers associés à du tabac illicite à bon marché.41 Malgré la diminution des taux de tabagisme, il y a encore des améliorations à faire. L’Ontario pourrait aspirer à égaler le taux de la Colombie-Britannique (17 %)42 ou du RLISS du Centre (16 %). |
Pourcentage de la population qui a eu des épisodes de consommation occasionnelle excessive d'alcool †† | 22 % | ![]() |
En Ontario, plus d’une personne sur cinq a eu des épisodes de consommation occasionnelle excessive d'alcool. Les taux n’ont pas évolué au fil du temps. L’an dernier, la Colombie-Britannique a enregistré un taux inférieur de consommation excessive d’alcool à celui de l’Ontario.43 Il y a encore des améliorations à faire. |
Pourcentage de la population (âgé de 20 ans et plus) qui est obèse††† | 19 % | ![]() |
En 2010, près d’un adulte sur cinq a indiqué être obèse. Qui plus est, les taux d’obésité se sont accrus au cours de la dernière décennie. Il y a des écarts importants entre régions concernant les taux d’obésité autodéclarés en Ontario, allant de 12 % pour le RLISS de Toronto Centre à 26 % pour le RLISS du Nord-Ouest. La Colombie-Britannique est la province qui a enregistré le taux d’obésité le plus bas chez les personnes âgées de 18 ans et plus (13 %),44 tandis que Vancouver a affiché le taux d’obésité régional le plus faible (18 ans et plus) au Canada (8 %)45. L’Ontario pourrait aspirer à égaliser ces taux. L’obésité chez les enfants devient un problème dans beaucoup de pays. En 2010, 20 % des adolescents ontariens de 12 à 17 ans ont indiqué être obèses ou en surcharge pondérale.46 |
Pourcentage de la population qui est physiquement inactive§§ | 49 % | ![]() |
Environ la moitié des Ontariens ne font pas assez d’exercice. Puisque cette information est autodéclarée, le taux réel d’inactivité physique est probablement plus élevé. La situation n’a pas beaucoup évolué ces dernières années. L’Ontario affiche un taux similaire à la moyenne nationale (48 %), mais bien plus bas qu’en Colombie-Britannique (42 %).47 En 2005, le gouvernement de l’Ontario a établi un nouvel objectif en matière d’activité physique : que 55 % des adultes fassent de la marche ou participent à d’autres activités physiques équivalentes pendant au moins 30 minutes par jour en 2010.48 Cet objectif n’a pas été atteint, ce qui indique qu’il y a encore beaucoup à faire. |
Pourcentage de la population qui ne consomme pas suffisamment de fruits et de légumes§ § | 58 % | ![]() |
Près de six personnes sur 10 ont indiqué ne pas consommer suffisamment de fruits et de légumes par jour (cinq portions ou plus). Cet indicateur ne s’est pas beaucoup amélioré au cours des sept dernières années. Les programmes axés sur l’éducation et la sécurité alimentaire dans les foyers peuvent encourager les gens à s’alimenter de façon plus saine. Il y a beaucoup d’améliorations à faire. L’Ontario pourrait aspirer à égaliser les taux enregistrés au Québec (43 % dans la région de l’Outaouais ou 44 % dans la région de la Chaudière-Appalaches).49 |