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Que veulent les Ontariens? | Et si cela ne se produit pas? | Qui en profite le plus? |
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Que les clients des SD préservent leurs capacités fonctionnelles et leur bien-être le plus longtemps possible et qu’ils continuent de vivre chez eux. | Les clients des SD dont les capacités fonctionnelles déclinent risquent de ne plus être autonomes, de pouvoir vaquer à leurs activités quotidiennes et d’être placés dans un foyer de SLD. Un changement d’environnement peut entraîner une détérioration de la santé.4 | Les 178 000 Ontariennes et Ontariens qui reçoivent des services par l’entremise des CASC à tout moment5 et les 617 0006 personnes qui ont reçu des services de SD des CASC en 2010-2011. Bon nombre de ces personnes sont des clients de longue durée. |
Que les clients des SD conservent leur fonction vésicale et leur mobilité, puissent contrôler la douleur et reçoivent des thérapies de réadaptation. | Sans contrôle approprié de la douleur, les clients des SD risquent de subir des souffrances inutiles et d’être admis à l’hôpital. Les personnes qui ont perdu le contrôle de leur fonction vésicale et leur mobilité et qui ne reçoivent pas les services de réadaptation requis risquent de perdre leurs capacités fonctionnelles définitivement.7 | |
Que les clients des SD conservent leurs capacités de communication, de mémoire et de réflexion. | Sans activités appropriées qui stimulent leur esprit, les gens risquent de se retrouvent seuls8 et de souffrir d’isolation sociale. | |
Que les clients des SD continuent à bien s’alimenter et évitent de perdre du poids de façon non intentionnelle. | Une mauvaise alimentation et une perte de poids non intentionnelle peuvent entraîner une diminution du niveau d’énergie et de la mobilité. 9 |