La population Ontarienne souhaite que le réseau de santé soit :

Accueil > Un système sûr > Innocuité des médicaments > Raison d’être

Innocuité des médicaments

Hôpitaux Soins de santé de longue durée Soins à domicile Soins primaires
L’utilisation sécuritaire des médicaments dans les soins de longue durée Introduction Raison d’être Résultats des indicateurs Idées d’amélioration Que fait-on en Ontario?

Raison d’être

Que veulent les Ontariens? Et si cela ne se produit pas? Qui en profite le plus?
Des méthodes de prescription sécuritaires dans les établissements de soins de longue durée (SLD) et de soins continus complexes (SCC). Par conséquent, on doit éviter d’administrer des médicaments inclus dans la liste de produits à « toujours éviter » de l’Agency for Healthcare Research and Quality’s (AHRQ) parce qu’ils provoquent des effets secondaires dangereux chez les personnes âgées, et prescrire des antipsychotiques seulement lorsqu’ils sont justifiés. Certains des médicaments figurant sur la liste de l’AHRQ peuvent entraîner des effets indésirables chez les personnes âgées, dont le délire, la dépression et un risque accru de chute14,15,16,17. Les antipsychotiques peuvent aussi avoir de graves conséquences chez les personnes âgées, par exemple, un AVC ou la mort18,19,20. Les Ontariennes et Ontariens qui reçoivent des soins de longue durée et des soins continus complexes; les plus de 75 000 résidents des quelque 600 foyers de SLD de la province et les plus de 22 000 personnes qui reçoivent des soins continus complexes chaque année en Ontario.
Que le traitement médicamenteux des personnes recevant des soins à domicile et prenant plusieurs médicaments soit vérifié régulièrement Les mélanges médicamenteux dangereux peuvent passer inaperçus pendant de longues périodes21 et accroître le risque d’essoufflement, de vertige, de conséquences cardiaques, de psychose et de coma22. Les 178 000 Ontariennes et Ontariens qui reçoivent chaque jour des services des CASC23 et les 616 952 personnes24 qui ont reçu des soins à domicile des CASC en 2011. Bon nombre de ces personnes sont des clients de longue durée.
Des pratiques médicamenteuses sécuritaires, y compris la prescription et la délivrance des bons médicaments et des bonnes doses à l’hôpital ou à la pharmacie. Les pratiques médicamenteuses non sécuritaires peuvent entraîner diverses conséquences, dont l’inconfort, la douleur, des examens et analyses inutiles, des blessures, un handicap temporaire ou permanent, voire la mort25. Les 13 millions de personnes qui vivent en Ontario26.
  • 14
  • Perri III M, Menon A, Deshpande A, Shinde S, Jiang R, Cooper J, et coll. Adverse Outcomes Associated with Inappropriate Drug Use in Nursing Homes. Annals of Pharmacotherapy. 2005; 39:405–11.
  • 15
  • Gallagher P, Barry P, O’Mahony D. Inappropriate prescribing in the elderly. Journal of clinical pharmacy and therapeutics. 2007; 32(2):113–21.
  • 16
  • Secrétariat des services consultatifs médicaux. The Falls/Fractures Economic Model in Ontario Residents Aged 65 Years and Over (FEMOR). Ontario Health Technology Assessment Series. 2008; 8(6):1–54.
  • 17
  • Secrétariat des services consultatifs médicaux. The Falls/Fractures Economic Model in Ontario Residents Aged 65 Years and Over (FEMOR). Ontario Health Technology Assessment Series. 2008;8(6):1-54.
  • 18
  • Stevenson DG, Decker SL, Dwyer LL, Huskamp HA, Grabowski DC, Metzger ED, et coll. Antipsychotic and Benzodiazepine Use Among Nursing Home Residents. American Journal of Geriatric Psychiatry. 2010; 18:1078–92.
  • 19
  • Huybrechts K, Rothman K, Silliman R, Brookhart A, Schneeweiss S. Risk of death and hospital admission for major medical events after initiation of psychotropic medications in older adults admitted to nursing homes. Canadian Medical Association Journal. 2011; 183(7):778–9.
  • 20
  • Kuehn BM. FDA: antipsychotiques risky for elderly. JAMA: The Journal of the American Medical Association. 2008; 300(4):379.
  • 21
  • Damiani G, Pinnarelli L, Colosimo S, Almiento R, Sicuro L, Galasso R, et coll. The effectiveness of computerized clinical guidelines in the process of care: a systematic review. BMC health services research. 2010; 10(1):2.
  • 22
  • National Health Service. National Patient Safety Agency [Internet]. 2012 [mentionné le 10 février 2012]; consultable à : www.nrls.npsa.nhs.uk/about-us/
  • 23
  • Association of CASC. 2009 – 2010 CCAC Quality Report [Internet]. Toronto: 2010 [mentionné le 7 février 2012]. Consultable à : www.ccac-ont.ca/uploads/201106-CCAC_Quality_Report/CCAC_Quality_Report_EN/fscommand/CCAC %20QR%20June%2021%20with%20links.pdf
  • 24
  • Ministère de la Santé et des Soins de longue durée. CCAC Comparative Reports; exercice 2010-2011. Tableau 3 : Individuals served by organization. [Internet]. 2011 [mentionné le 10 février 2012]; consultable à : www.healthinfo.moh.gov.on.ca/reports/CCAC%20reports/20102011YE/Global%20Table%203.PDF
  • 25
  • Leape LL, Brennan TA, Laird N, Lawthers AG, Localio AR, Barnes BA, et coll. The nature of adverse events in hospitalized patients. New England Journal of Medicine. 1991;324(6):377-84.
  • 26
  • National Health Service. National Patient Safety Agency [Internet]. 2012 [cited 2012 Feb 10]. Consultable à: www.nrls.npsa.nhs.uk/about-us/
TÉLÉCHARGER LE RAPPORT COMPLET  •   REMERCIEMENTS   •   SOMMAIRE EXÉCUTIF