La population Ontarienne souhaite que le réseau de santé soit :

Veiller sur la santé des résidents

Hôpitaux Soins de santé de longue durée Soins à domicile Soins primaires
Veiller sur la santé des résidents des foyers de soins de longue durée Introduction Raison d’être Résultats des indicateurs Idées d’amélioration Que fait-on en Ontario?

Idées d’amélioration

Réduire le taux d’incontinence urinaire chez les résidents Résidents et familles Politique Fournisseur
Amélioration des processus, perfectionnement professionnel : Certaines stratégies, comme le déclenchement de la miction et l’entraînement de la vessie, se sont avérées efficaces pour améliorer les problèmes d’incontinence.8,15 Pour ce faire, le personnel doit demander aux résidents d’aller aux toilettes à des heures régulières, selon les besoins propres à chacun, et les aider. Il est important que le personnel, y compris les nouvelles recrues et les employés à temps partiel, apprenne à utiliser ces techniques auprès des résidents qui en ont besoin.

Ces techniques nécessitent parfois un degré élevé de supervision de la part du personnel, il est donc important de détecter les résidents les plus susceptibles de bénéficier des techniques de déclenchement de la miction et d’entraînement de la vessie, et les personnes pour lesquelles d’autres méthodes de gestion de l’incontinence sont préférables.16 On peut utiliser des outils fiables pour évaluer et réévaluer les besoins des résidents et créer un plan de soins de l’incontinence approprié.17 L’outil RAI-MDS 2.0 comporte un protocole d’évaluation des résidents qui peut aider le personnel des foyers de SLD à prendre des mesures pour améliorer les problèmes d’incontinence.
    Policy
Amélioration des processus : Certains médicaments peuvent causer et servir à traiter l’incontinence.9 On peut demander aux pharmaciens de collaborer avec les médecins et le personnel infirmier pour examiner le traitement médicamenteux des résidents et recommander des médicaments qui pourraient régler les problèmes d’incontinence. 17     Policy
Améliorer la capacité des résidents de vaquer aux activités quotidiennes
Amélioration des processus : Adopter l’utilisation d’aides à la mobilité dès le début, avant que les gens soient admis dans un foyer de SLD. Les problèmes de mobilité sont inclus dans l’évaluation normalisée effectuée à l’aide de l’outil RAI-MDS 2.0 au moment où les gens sont admis dans le foyer,18,19 mais on pourrait encourager ces derniers à utiliser une aide à la mobilité avant leur arrivée dans le foyer de SLD, pendant qu’ils attendent chez eux ou à l’hôpital.

Puisque les foyers n’ont pas les moyens de fournir aux résidents leur propre aide à la mobilité, ceux qui pourraient avoir droit à une aide financière devraient entamer le processus de demande dans le cadre du Programme d'appareils et accessoires fonctionnels20 dès que possible, pendant qu’ils attendent chez eux ou à l’hôpital. Au besoin, les fournisseurs de soins à domicile, les organismes communautaires et les hôpitaux devraient aider les gens à réaliser le processus de demande.

Fournisseur, processus, politique. S’assurer que les appareils sont accessibles, sécuritaires, bien ajustés et qu’ils conviennent bien aux besoins et aux capacités des résidents. Apprendre aux résidents à bien utiliser l’appareil. Une partie du coût des aides à la mobilité est prise en charge par les résidents ou les familles. Songer à élargir le Programme d'appareils et accessoires fonctionnels25 pour que davantage de familles à faible revenu puissent acheter ce type d’appareil pour leurs proches.
  Policy  
Participation des patients, changement dans les ressources : S’assurer que les appareils sont accessibles, sécuritaires, bien ajustés et qu’ils conviennent bien aux besoins et aux capacités des résidents. Apprendre aux résidents à bien se servir des appareils. Une partie du coût des aides à la mobilité est prise en charge par les résidents ou les familles. Songer à élargir le Programme d'appareils et accessoires fonctionnels20 pour que davantage de familles à faible revenu puissent acheter ce type d’appareil pour leurs proches.   Policy Provider
Amélioration des processus, participation des patients. Les programmes d’exercice et les de réadaptation physique contribuent à améliorer la mobilité, la force musculaire, la souplesse et l’équilibre des résidents des foyers de SLD, ainsi que l’endurance physique et la qualité de la vie en général.21,22,23 Les exercices, dont le tai-chi et la musculation, permettent aussi aux personnes âgées d’améliorer leur équilibre.24,25 Les foyers peuvent offrir aux résidents divers programmes d’exercices et des thérapies physiques personnalisées pour améliorer leur état physique. Les bénévoles, les familles et les amis ont aussi leur part à jouer en marchant avec les résidents et en les encourageant à participer aux programmes d’exercice.   Provider
Aider les résidents à préserver leurs fonctions cognitives
Participation des patients, Amélioration des processus : Bien qu’il soit très difficile de rétablir les fonctions cognitives une fois qu’elles sont perdues, il existe des stratégies qui peuvent atténuer le risque que cela se produise et ralentir le déclin.26 Offrir aux résidents des programmes d’activités physiques et mentales et les encourager à participer. Les exercices et les activités d’entraînement des fonctions cognitives, par exemple, réfléchir à haute voix pour résoudre un problème ou utiliser des pense-bête de façon routinière pour se rappeler certaines tâches sont des techniques qui permettent d’améliorer les fonctions cognitives chez les personnes âgées les plus vulnérables au risque de démence.27,28 Une autre stratégie prometteuse est la thérapie de la réminiscence, qui consiste à encourager les résidents à discuter d’événements et d’expériences qu’ils ont vécues par le passé.29 Ce type de discussion peut se tenir en groupe en la présence de membres de la famille, de bénévoles, et même de jeunes personnes (programmation intergénérationnelle.30   Provider
Participation des patients, changement dans la capacité et les ressources : Il est important d’offrir une vaste gamme d’activités stimulantes fréquemment et régulièrement, y compris le soir et la fin de semaine. Envisager des modèles de dotation en personnel prévoyant la présence de thérapeutes pendant la semaine et intégrer des activités visant à stimuler les fonctions cognitives aux routines quotidiennes.31 Former des bénévoles pour animer les séances de thérapie de la réminiscence et d’autres activités structurées.30,32
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Amélioration des processus : Puisque l’alimentation, l’obésité, le diabète, l’hypertension et le tabac sont associés à un risque accru de déclin des fonctions cognitives,26,33,34,35 il est important de prodiguer des soins appropriés des maladies chroniques et d’aider les résidents à avoir une bonne hygiène de vie.
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Évaluer et gérer la douleur
Perfectionnement professionnel : Éduquer le personnel à la gestion de la douleur14 . Former le personnel à l’utilisation d’outils d’évaluation de la douleur validés pour les adultes âgés et les personnes atteintes de troubles cognitifs, par exemple, la démence. Certains outils sont conçus pour que le personnel observe des indices visuels, tels que les expressions faciales et les changements de comportement, pour évaluer la douleur.36,37 D’autres idées consistent à poser des questions simples, concrètes oui/non et de recourir aux répétitions lorsque les questions portent sur la douleur.38 Il faut encourager les résidents à s’exprimer s’ils souffrent de douleurs régulièrement; on peut les aider à décrire ce qu’ils ressentent en utilisant d’autres termes que « douleur », par exemple, « brûlure », « piqûre », « crampe ».39,40 L’évaluation de la douleur et la planification des soins devraient faire partie des soins de routine et du processus d’évaluation régulier des résidents.
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Amélioration des processus , changement dans la capacité et les ressources : Si les médicaments jouent un rôle important dans la gestion de la douleur, on devrait aussi songer à recourir à des interventions non pharmacologiques, comme les exercices ou les thérapies physique.41,42 Songer à élargir la couverture de l’assurance-santé à des thérapies comme l’acupuncture43 ou la massothérapie.41
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Aide à la décision clinique : On peut utiliser des protocoles pour faciliter la gestion de la douleur et trouver des moyens d’administrer les médicaments de façon responsable, surtout lorsqu’ils sont intégrés au flux de travail existant et si leur administration implique une formation.44,45,46 On peut utiliser des outils d’aide à la décision, par exemple, des lignes directrices sur la pratique clinique, spécialement conçues pour les personnes âgées et décrivant comment et quand utiliser les traitements médicamenteux.14
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Amélioration des processus : Les acétaminophènes sont les premiers médicaments recommandés pour calmer la douleur.47 Avant de prescrire des médicaments susceptibles de créer une dépendance, utiliser des outils de dépistage pour évaluer les facteurs de risque associés à la dépendance. Cette approche de « précaution universelle » permet aux cliniciens de prescrire et de surveiller l’utilisation des médicaments avec plus d’assurance et aux professionnels de santé d’identifier les personnes à surveiller.48     Provider
Évaluer et gérer les symptômes de la dépression chez les résidents
Perfectionnement professionnel : Former et équiper le personnel pour comprendre, déceler et gérer la dépression chez les résidents. Des outils de dépistages tels que l’échelle de dépression gériatrique ont été mis au point et validés pour les résidents des foyers de SLD, tandis que d’autres ont été créés expressément pour personnes atteintes de démence ou de troubles cognitifs.49 Le personnel peut utiliser ces outils pour mieux reconnaître les signes de dépression et agir, le cas échéant.
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Changement dans la capacité et les ressources : Améliorer la disponibilité des services de santé mentale spécialisés dans les foyers de SLD. Par exemple, un grand nombre de localités de l’Ontario ont créé des équipes mobiles multidisciplinaires chargées de seconder, d’éduquer et de consulter le personnel des foyers de SLD et de traiter les résidents ayant des problèmes de santé mentale.50,51 Toutefois, ces équipes ne sont pas réparties de façon équitable dans toute la province.52 La Commission de la santé mentale du Canada recommande l’établissement d’un modèle de dotation pour ces équipes afin qu’elles puissent répondre aux besoins des personnes âgées.53 Grâce aux nouvelles technologies, par exemple, les vidéoconférences, il est possible de rendre ces équipes plus accessibles.53
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Amélioration des processus, perfectionnement professionnel : Songer à utiliser des approches multifacettes pour la prévention et le traitement de la dépression. Selon certaines études, les interventions et thérapies psychosociales, telles que le bilan de vie dans le cadre duquel la personne se remémore certains moments de sa vie, peuvent contribuer à soulager les symptômes de la dépression.54,55 On peut aussi recourir aux traitements pharmacologiques tels que les antidépresseurs.55 Encourager le personnel infirmier à suivre une formation en gestion des soins de la dépression.55,56     Provider
Participation des patients, amélioration des processus : Les activités de groupe permettant les interactions sociales contribuent à soulager le sentiment de solitude et d’isolement dont souffrent les résidents.57,58 Pour que les résidents participent aux activités, ils doivent avoir la possibilité de choisir celles qui les intéressent.59 Des études ont aussi démontré que les résidents s’intéressaient davantage aux activités lorsque les membres du personnel y participent et prêtent une attention positive aux résidents.60     Provider
Participation des patients : Les familles et les amis ont leur part à jouer en rendant fréquemment visite à leurs proches. L’écoute attentive, sans jugement de valeur, peut aussi les gens à mieux comprendre ce qu’ils ressentent et leur état.61
   
Éviter les pertes de poids non voulues chez les résidents
Amélioration des processus : Appliquer une approche multidisciplinaire afin de maintenir et de gérer le poids. Tous les membres de l’équipe de soins, diététistes, personnel infirmier, préposés aux services de soutien personnel, travailleurs sociaux, ergothérapeutes et responsables des activités, devraient être informés des besoins alimentaires des résidents et du plan de soins afin de pouvoir jouer un rôle pour éviter la perte de poids non voulue.
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Amélioration des processus : Lorsqu’elles vieillissent, certaines personnes perdent l’odorat et le sens du goût, ce qui peut entraîner une perte d’appétit ou du désir de s’alimenter. Cette perte peut aussi s’expliquer par la prise de certains médicaments, des troubles cognitifs ou d’autres problèmes de santé.62 Outre l’évaluation et la planification de l’alimentation, les examens de la santé orale et une bonne hygiène et des soins oraux appropriés peuvent contribuer à améliorer le sens du goût. Étudier des moyens d’améliorer le goût, la texture et l’odeur des aliments, par exemple, ajouter des exhausteurs de goût ou offrir toutes sortes de condiments.62,63,64
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Changement dans la capacité et les ressources : Penser aux préférences alimentaires et aux origines culturelles des résidents lors de la planification des menus. On peut offrir aux résidents des menus différents, y compris des mets ethniques, pour les encourager à se nourrir.65 Puisque les spécialités alimentaires peuvent très coûter cher, il faudrait prévoir un budget supplémentaire pour les résidents qui ont des besoins spéciaux pour des raisons médicales ou culturelles.66
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Amélioration des processus : Faire en sorte que les repas se déroulent de la manière la plus agréable qui soit.62 Les salles à manger ne devraient pas être bruyantes et grouillantes, mais être confortables et dégager une atmosphère familiale.67 On peut organiser des soirées à thème ou servir les repas dans de la belle vaisselle. Les repas devraient être prêts lorsque les résidents ont envie de manger. Varier les options afin que les résidents puissent manger quand ils le souhaitent, comme s’ils étaient chez eux.68
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Perfectionnement professionnel : Former le personnel sur la façon d’aider les résidents de façon appropriée au moment des repas. On peut, par exemple, trouver des moyens d’encourager et d’inciter les résidents à manger et des stratégies pour détecter d’éventuels problèmes, tels que des troubles de la déglutition. Puisque l’aide au repas exige beaucoup de temps, les bénévoles et les familles peuvent être d’une grande aide et on devrait leur donner une formation et des conseils appropriés. 63
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